Dans ce blog, à la date du 25 janvier 2022 était posté un article intitulé « Antiracisme ou mixité bienpensante… ou pire ».
On traitait alors de la quantité importante de couples « Noir Africain-Blanche Européenne » en connotant les excès illustratifs de ce thème et les éventuelles motivations des publicistes (ou de leurs clients).
L’article d’aujourd’hui reprend ce thème, après 680 observations des messages publicitaires de même nature, qui sont maintenant enrichis des distributions raciales dans les séries télévisées.
L’auteur de cet article n’a jamais été connoté comme raciste, au contraire, mais son doctorat en socio psychologie lui fait craindre que cette abondance de couples Noirs-Blanches, tournant à l’avalanche, ne déclenche bientôt un phénomène de rejet, probablement contraire aux espoirs des tenants de cette introduction massive biraciale.
Ne nous apprend-on pas que les excès conduisent à leur contraire ? De nombreux proverbes ont été inventés par la sagesse populaire dans ce domaine : « qui embrasse trop mal étreint » ou, plus adapté, « faire boire un âne qui n’a pas soif ? »
Une petite coterie de bons esprits, insoupçonnables de racisme, consultée, souligne aussi que le phénomène est surtout présent dans la Publicité, le Cinéma et le Show-Business, mais comme il s’agit des trois domaines les plus invasifs dans les foyers familiaux, leurs promoteurs pensent faciliter une évolution multiraciale plus « acceptée », alors que cette avalanche ne suscite que méfiance dans les cas les plus favorables et conforte les oppositions, voire les haines les plus violentes dans les autres.
Les ethnies ont des phylums ataviques qui les protègent des intrusions qui pourraient nuire à la continuité des structures et institutions qui ont constitué leur singularité. Il faudrait plus que des modes partisanes pour fissurer ces édifices vitaux multimillénaires. Les lentes transformations qui affectent ces structures ne peuvent provenir que d’elles-mêmes, sui generis, jamais d’un viol socio racial, fût-il en faveur dans les milieux pseudo-intellectuels.
La plupart des Africains qui arrivent en France cherchent légitimement (sinon toujours légalement), une meilleure vie pour eux et leur famille, et essayer de les « aider » en passant, en force, par la sexualisation comme facteur dominant de leur socialisation est non seulement inepte, mais contraire à leur acceptation par la moitié masculine de leur pays d’accueil, moitié qui détient encore le pouvoir politique et financier, donc celui régissant l’immigration.