On doit à Fritz Zwingli, astrophysicien américano-suisse une plaisante manière de qualifier les gens qui lui déplaisaient pour leur étroitesse d’esprit :
« Sphérical Bastard »
Traduit approximativement de l’américain au français :
« Connards Sphériques ».
Sa justification pour l’attribution de ce titre était que les Connards Sphériques, sous quelque angle que vous les observez, ils restent des connards à l’instar des sphères qui sont toujours des sphères, sous n’importe quel angle qu’on les observe.
De fait, une sphère est désespérément semblable à elle-même, tant par l’absence d’aspérité où s’accrocher que l’impossibilité d’estimer la distance à son horizon fuyant à mesure que le voyageur croit s’en approcher. Peut-on être plus tristement inutile, même si c’est la figure géométrique la plus nombreuse, et de loin, de l’univers.
Mais il convient de reconnaître sa morphologie parfaite et son caractère lisse, comme le sont souvent les Connards Sphériques, souvent d’apparence insaisissable, lisse, à la limite du visqueux.
Plagiant Zwingli, on pourrait parler de la solidité des cubiques, de l’agressivité des triangulaires, de l’indécision des ovoïdes, de la platitude des serviles, des esprits tortueux des polyèdres.
Et des inclassables, bien sûr, les cercles, qui ne sont que des sphères aplaties.
Les mathématiciens étudient l’empilement des sphères depuis au moins 1611, lorsque Johannes Kepler a conjecturé que la manière la plus compacte d’empiler des sphères de taille égale était la pyramide familière d’oranges que l’on trouve sur les étals des marchés.
J’ai trouvé ça sur le Web hihihi
cela résoud la question: qu’est ce qui est plus con qu’une sphère?
j’ai