On comprend que ceux qui vivent dans le confort ne peuvent être critiqués pour cela.
Leur civilisation, leur pays, leur famille, ont pris un chemin plus fructifère que d’autres, souvent depuis fort longtemps.
On peut utilement se demander pourquoi des races (qu’on nous épargne les imbéciles considérations « politiquement correctes » sur l’absence de races !) nées, toutes depuis plusieurs milliers d’années, et souvent vivant parallèlement à d’autres plus auto-productives dans tous les domaines de la civilisation, n’ont pas appliqué – et n’appliquent toujours pas – les mécanismes les plus élémentaires d’éducation, d’hygiène, de « bonne vie », qui ne sont plus un secret.
Mais l’inquiétude que devrait avoir tout être humain conscient souhaitant voir s’approcher sa mort sans trop de dégoût de lui-même devrait peut-être introduire comme arbitre entre sa chance de bien vivre et l’agacement, voire le mépris – fondement du racisme – pour ses « frères humains », le fait de regarder la vérité en face.
SI nous ne devions le faire que comme élément de confort moral, restons-en aux concepts simples, acceptables et représentant déjà un énorme chemin à parcourir.
Un concept que tout le monde peut comprendre :
TANT QUE TOUS LES ENFANTS N’AURONT PAS MANGE, PERSONNE N’AURA DE DESSERT !
Qu’on applique ce « jeu » symboliquement ou à la lettre, il changerait le monde, car on ne s’attaque pas à la nourriture « besoin » de vie des peuples favorisés, mais à sa partie « plaisir » de manger quand les défavorisés ne remplissent pas le « besoin ». Enfin, le dessert est souvent la partie la moins saine de la nourriture.
Le marché des desserts dans le monde est de l’ordre
de 480.000.000.000 € (480 Milliards €) par an.
Les besoins pour éradiquer la faim dans le monde d’ici 2030 (12 ans seulement !), sont, selon les chiffres de la FAO
de 267.000.000.000 € (267 Milliards €) par an.