Nos amis et voisins espagnols, vivent une catastrophe climatologique les plus dramatiques de leur Histoire.
Les spécialistes de ces domaines ont donné toutes les explications qui rendent le phénomène compréhensible, mais l’heure n’est pas, apparemment, aux décisions qui donneraient un peu d’espoir à l’échelle du globe.
De fait, ces drames ne vont pas rester de terribles exceptions, mais, logiquement, ils seront plus nombreux et plus violents.
Les Terriens produisent les outils dont la nature a besoin pour les exterminer. Pour assurer une production industrielle qui fait fonctionner les marchés, ils génèrent sans vraiment tenir compte des réalités, des quantités colossales de pollution, CO2 en tête, qui favorisent l’entretien et la croissance de l’enveloppe de carbone qui maintient et augmente la chaleur atmosphérique et, de façon arithmétique, les phénomènes climatiques de plus en plus violents.
Les « coupables » sont connus, en-tête logiquement les plus grands producteurs industriels : la Chine et les États-Unis. L’Europe est plus vertueuse (la France n’est responsable de la production carbonée que pour 0,9% de ce fléau mondial sur son territoire, et c’est encore trop), ayant délocalisé une grande partie de sa production industirelle.
Les termes de l’affrontement entre la nature et les Hommes sont clairs : la nature ne connait que la thermodynamique et les Terriens qui, pour la philosophie de puissance commerciale qu’ils ont choisie, produisent les gaz et poussières mortifères qui donnent à la nature ses armes les plus puissantes.
Comme il y a peu de chances pour que les Terriens deviennent brusquement raisonnables, la seule manière de renverser les conditions climatiques à leur avantage serait de développer des systèmes de réabsorption des gaz mortifères et de les compacter pour les immerger dans les océans, ou de les éjecter vers l’espace. La pollution par l’aviation civile, qui participe directement à l’entretien et à l’aggravation de la présence de gaz en altitude pourrait être amoindrie par l’utilisation de carburants moins carbonés. De tels systèmes sont à l’étude, entre autres avec l’hydrogène. La généralisation de moteurs nucléaires serait un moindre mal. Étant entendu que le « danger » nucléaire n’est qu’un épouvantail des théories écologistes que l’histoire de cette filière énergétique dément de façon contondante.
La seule mauvaise solution, au point où en sont les choses consiste à ne rien faire. Au rythme actuel de production de CO2, la vie humaine et celle de la plupart des espèces n’ont aucune espérance de survie
Le taux de CO2 dans l’atmosphère atteint aujourd’hui un niveau qu’il n’avait pas atteint depuis trois millions d’années.
« Mais chacun mourra pour sa propre iniquité, tout homme qui mangera des raisins verts, ses dents en seront agacées » (Jérémie 31:29, 30) »
Malheureusement, l’aphorisme de Jérémie n’a pas cours dans la compétition des nations pour la puissance.