De l’énergie et de l’eau.

Huit milliards de terriens !

Le double dans 50 ans.

Pour énorme que paraissent ces chiffres, la Terre pourrait nourrir cette multitude – et plus – à deux conditions : disposer d’eau et d’énergie.

Pour l’eau : le volume des mers et océans est douze fois plus important que celui des terres émergées. On sait dessaler l’eau de mer. Oui, c’est énergivore, mais cela signifie seulement que c’est coûteux, pas impossible. Cette fonction est employée dans d’assez nombreux sites du monde : Espagne, pays du Golfe…

Et les nappes phréatiques sont plus nombreuses qu’on croit. (Carte de ces ressources ci-dessous).

Pour l’énergie : celle du soleil ne tarira que dans plus de quatre milliards d’années. La gravité peut aussi être exploitée, si l’imagination et l’intelligence remplacent la doxa. (Principe d’un système breveté joint)

Pour reprendre l’exemple de l’Afrique, électrifier des villages à l’énergie solaire et forer des puits est ridiculement aisé et peu coûteux, en regard des souffrances et des freins au développement que génère la pénurie de ces biens de l’humanité. A condition que les fonds alloués aillent bien à ces projets. Une entreprise, agréée par les Nations Unies et protégée par des casques bleus, financée par des dons, transformerait en peu d’années des savanes arides en jardins luxuriants. Les technologiques, tant pour les structures que pour une agronomie adaptée existent. L’extension du système verdirait des surfaces cultivées de plus en plus importantes qui modifieraient le climat.

Système fonctionnant par gravité :

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